Le pot fêlé – Accueillir nos “imperfections”
- NaturoSo

- 30 sept.
- 2 min de lecture
"Parfois, ce que l’on croit être une faiblesse est simplement une autre manière d’apporter de la beauté au monde."

Il était une fois une femme qui portait l’eau chaque jour du puits jusqu’à sa maison.
Pour cela, elle utilisait deux grands pots en terre, accrochés à un bâton qu’elle portait sur ses épaules.
Un des pots était impeccable. L’autre avait une fêlure.
À chaque trajet, ce dernier perdait presque la moitié de l’eau.
Un jour, le pot fêlé, triste, dit à la femme :
"Je suis inutile. Je te fais perdre ton temps. Je ne suis pas parfait".
La femme sourit et répondit :
"Tu as remarqué les fleurs, de ton côté du chemin ? Elles ne poussent que là, parce que j’ai planté des graines, et que chaque jour, tu les arroses".
"Tu n’as jamais été un défaut. Tu as simplement eu ta propre manière d’être utile".
Ce que ce conte nous invite à ressentir
Combien de fois nous jugeons-nous “pas assez” ?
Pas assez efficaces, pas assez beaux, pas assez solides…
Ce conte nous montre que nos fêlures peuvent devenir des sources de vie. Elles donnent une forme, un rythme, une couleur particulière à notre façon d’aimer, de créer, de partager.
Elles nous rendent profondément humains. Et parfois, elles arrosent des fleurs que personne d’autre ne peut faire pousser.
Le lien avec la naturopathie… Et avec toi
En naturopathie, on ne cherche pas à devenir “parfait”. On cherche à mieux se connaître, mieux s’aimer, mieux s’écouter.
Je crois profondément que ce n’est pas malgré nos failles qu’on évolue…
C’est souvent grâce à elles.
Tu es hypersensible ? Peut-être que ton corps t’invite à ralentir.
Tu es fatigué·e ? Il y a sans doute une sagesse cachée dans cette pause.
Tu as des émotions “trop fortes” ? Et si c’étaient des fleurs puissantes, encore mal comprises ?
Mon accompagnement, c’est aussi ça : t’aider à transformer tes fêlures en force de vie.

Une graine à planter
Prends un papier et écris dessus un de tes “défauts”, quelque chose que tu as du mal à accepter en toi.
Puis, juste en dessous, écris :
Et si cette fêlure nourrissait quelque chose de beau ?
Garde ce papier, ou brûle-le, ou enterre-le – selon ce que tu ressens.
Mais surtout : regarde les fleurs qu’il peut faire pousser.
Si vous avez des questions, n’hésitez pas à me les poser à :
Ou consulter mon site :
Je me ferais un plaisir de vous répondre
Attention : Mes séances ne remplacent en aucun cas les consultations médicales et ne dispensent pas de traitements médicaux éventuellement suivis.






Commentaires